Nombreuses sont les personnes qui m'ont souri à l'entente de mon accent québécois, mais jamais personne ne souriait autant que moi à l'entente des expressions et de l'accent Marseillais ou du Sud, duquel je suis tombé amoureuse.
Roxanne Lafrenière
" Ne pas se mettre la rate
au court-bouillon''
Marseille, je taime!
 Dès que je t’ai vu en 2008, j’ai su que je t’aimerais, mais je ne savais pas que ça serait aussi intense. 2008, 2013 et 2014 ont été pour l’instant les trois fois où je t’ai découvert et ce de trois manières différentes.
Non, je ne te connais pas encore à 100%, mais j’ai beaucoup côtoyé ton agglomération et quelques-uns de tes quartiers. Ton Vieux-Port, ton 7 iem arrondissements, La Valentine, Marignane bien évidemment et Aubagne, Cassis et La Ciotat.                                           Â
J’ai découvert ta simplicité de vivre  » Ne pas se mettre la rate au court-bouillon » ou  » Ne pas se faire de soucis « . Des gens chaleureux qui t’accepte vite parmi eux. Nombreuses sont les personnes qui m’ont souri à l’entente de mon accent québécois, mais jamais personne ne souriait autant que moi à l’entente des expressions et de l’accent Marseillais ou du Sud, duquel je suis tombé amoureuse.
Ta multiculturalité qui en dérange plusieurs, ma épatée. L’air saline de la Méditerrané, le Mistral qui se déchaine (vent qui vient de la mer), le bleu azur de cette côte. L’histoire de ta cité, de ta ville et de ton pays que l’on découvre à chaque pas que l’on fait grâce à l’architecture.
Ta gastronomie, ton mode de vie. Rien ne m’a laissé de glace sous le soleil radieux de la bonne mère.
Pour certains les gens du sud sont grincheux, hautains, pour certains les gens du nord le sont. Pour moi tout est question de perspective et d’attitude.
 Soyons positif et nous attirerons le positif, cela est valabe dans n’importe quelle sphère. Jamais tu ne cesseras de m’épater peu importe comment je te découvrirai.
Tu es d’une telle beauté et d’une telle simplicité!